Petite histoire d'un accessoire qui mets en valeur vos œuvres. Le principe de la caisse américaine remonte au début du XXe siècle. Très prisé des artistes et des galeristes, s'est progressivement imposé comme une excellente technique d'encadrement en matière de toiles. Elle tire sa particularité de l’espace laissé entre la toile et le bord du cadre. Ce cadre américain donne ainsi comme une impression de flottement de votre toile au centre de son cadre. Avec la caisse américaine, ni baguette ni verre de protection ne viennent recouvrir la toile pour une expérience artistique décuplée.

Comment devient-on un spécialiste ? Pour répondre à cette question, il faut plusieurs ingrédients : beaucoup de travail, de la passion, l'envie d'apprendre, de comprendre et de vouloir transmettre ce que l'on a acquis toute sa vie. Personnellement, je suis passé par plusieurs étapes qui m'ont amené dans différentes directions et qui aujourd'hui me servent encore. A l'école, on essaie de vous mettre dans une case. Cela fonctionne pour beaucoup, mais cela n'a pas marché pour moi de cette façon.

Le plateau des Capucins est à l’origine une bande de terre isolée de l’autre côté de la Penfeld. C’est en 1681 que celui-ci fut rattaché à Brest. Les premiers habitants sont des moines Capucins, ce qui donnera le nom du lieu. Ils s'y sont installés depuis 1672 et obtiennent l’autorisation d’y construire un couvent. La première pierre est posée par Vauban, architecte militaire en charge de réaliser la fortification de Brest, de la rade et jusqu’à Crozon. Les bâtiments sont disposés autour d’une cour intérieure, ainsi que les jardins qui surplombent la Penfeld. Les Capucins, rattachés à l’ordre...

Il faut remonter dans les années 1990 pour voir apparaitre un nouveau concept et une nouvelle forme de communication. Les cafés Internet, lieux où l’on venait boire un café et surtout surfer sur Internet. Des cafés où l’ordinateur est roi et où les clients font leurs premiers pas sur l’autoroute de l’information. Certains ne proposent même pas le café, juste l’ordinateur dans sa robe beige avec son clavier « clic clic » et ses grosses touches que nos doigts s’efforcent d’enfoncer convenablement. Car nous sommes comme les gendarmes sur leurs machines à écrire, nous tapons avec deux...